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jeudi 14 juin 2012

Minou?

Saona était toute petite, 18 mois, peut-être. Cela faisait donc un an que nous habitions notre condo au deuxième étage.La nuit était chaude et les portes patio grande ouverte. Les moustiquaire bien fermé, car c'est pas parce qu'on est au centre ville de Quebec, qu'il n'y a pas de moustique. Je dormais paisiblement, quand tout d'un coup je me réveille en panique et j'appel "minou". Et la, je me mets à chercher minou partout. Evidemment, Kathleen s’était réveiller et me disait de me calmer, de ne pas réveiller Saona. Mais j’étais certain qu'il était arrivé quelque chose à mon chat. Je vois éventuellement la moustiquaire entre ouvert. Je suis alors certain qu'il est tomber en bas. Je m'habille rapidement et je sors. Je l'appel, il me répond (oui, il connaissait son nom...). Il était caché sous une pile de planche.

Il semble que finalement, ce n'est pas juste lui qui connaissait son nom mais que moi aussi, je savais reconnaître mon nom en "chat".

mardi 22 mars 2011

Pauvre Maman

Mes deux parents sont des professeurs à la retraite. Quand on est jeune et que nos parents sont professeurs, on ne peut faire autrement que de travailler fort à l’école, surtout quand on va à la même école que celle ou ils enseignent. C’est aussi très bien pour les vacances. On avait deux mois complet ou nous pouvions partir en voyage toute la famille. Voici un souvenir d’un de ces voyages.

Nous avions un “Campeur”. C’était un econoline allongé avec un toit surélevé en fibre de verre. Les banquettes se dépliaient pour faire un lit presque double et on pouvait tirer des planches qui faisaient la largeur du campeur pour faire un autre lit, plus large au “deuxième”. Ma sœur et moi, nous couchions en haut et mes parents dormaient coller-coller en bas. Un matin, ma sœur et moi étions réveillés. On jasait avec les parents qui étaient couchés en bas. Soudain, ma sœur se met à dire, d’une petite voie, pleine de pitié “Pauvre maman, pauvre, pauvre maman”.On la regarde tous. Et on voir qu’elle ne blague pas. Elle est vraiment désolée pour ma mère. Après quelques minutes, on comprend. Directement au dessus du visage de ma mère, pendue au bout de son fil, une belle grosse araignée...