Je suis tendu et on m'écartèle dans des milliers de directions en même temps. Je suis soudainement attiré vers un une boule de confusion envoûtante, en même temps que je suis attiré vers un concept abstrait qui s'est formé dans mon esprit perdu, tordu.
Un vieil amis m'appelle de l'au-delà, implorant mon retour, mon départ des ces pensées étranges, de ce monde imaginaire, lointain. Les portes sont toutes grandes ouvertes, la lumière filtre comme un sirop, pénétrant chaque minuscule coins de mon âme au fur et à mesure qu'elle enveloppe toute la pièce.
Je plane dans le couloir. Mes pieds semblent bouger, ou peut-être trembler, ou peut-être sont-ils absent. Je n'ai plus conscience. Je ne vois plus que ce que je me dit de voir.
Et soudain, les murs s'écroulent, et la destruction de l'ensemble de l'univers devient évidente. L'apocalypse arrive, et je suis calme. Car j'ai un vieil ami qui m'attend, qui m'attend dans le nouveau monde que je vais possiblement créer avec mon imagination sans fin.
J'imagine la paix, la guerre, la lumière, la noirceur. Ainsi que toutes les teintes d'existence entre ces extrêmes.
Ce sera merveilleux.
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